J’aurai une meilleure compréhension quand je réaliserai…
que
je ne dois pas laisser le chagrin prendre le contrôle de ma vie.

 

Lorsque la mort vient chercher un être qui vous était cher, vous pleurez. Vous pleurez parce que vous croyez que la chance de faire ce que vous n’avez pas fait ou de dire ce que vous n’avez pas dit est maintenant passée.

Vous pleurez parce que cette personne vous manquera. Bien souvent vous croyez que vous ne ressentirez plus jamais les émotions que vous avez ressenties avec cette personne.

Si vous ne faites pas attention, le chagrin peut prendre le contrôle de votre vie et vous empêcher de profiter de la joie, de la paix et de l’amour qu’il y a encore en vous et devant vous.

Il est normal de pleurer la perte un être cher.

En fait, le chagrin nous atteint chaque fois que nous subissons une perte qui change les situations et les expériences auxquelles nous sommes habitués et attachés.

Il est important que le chagrin ne soit pas long et intense au point de vous faire douter de votre capacité et de votre désir de continuer à vivre.

C’est ce qui arrive lorsque nous confondons « pleurer » et « regretter ».

Quand vous « regrettez », il devient difficile d’entrer en relation et d’apprécier tout ce que vous avez ou avez eu. Quand vous pleurez parce que vous « regrettez », il devient difficile de voir ce que vous avez reçu et ce qui se présente à vous.

Les choses se terminent comme elles doivent se terminer.

Pleurer sur ce que vous croyez avoir manqué ou sur ce que vous croyez que vous manquerez, c’est douter de la Sagesse Divine.

Pleurez jusqu’à ce que vous soyez assez consolé pour vivre dans la paix et la gratitude.

Pleurez jusqu’à ce que vous puissiez accepter ce qui est arrivé sans résister.

Pleurez jusqu’à ce que vous puissiez vous détacher du passé, « sans l’oublier ».

En pleurant de cette façon, vous allez réaliser que vous ne manquerai rien de ce qui vous est destiné.

Jusqu’à aujourd’hui, il se peut que vous ayez pleuré à cause de ce que vous n’aviez pas fait ou à cause de ce que vous pensiez avoir perdu pour toujours.

Aujourd’hui, considérez le chagrin comme une espèce de préparation. Sachez que vous êtes en train de vous préparer à recevoir plus.

Aujourd’hui, je m’applique à me libérer du chagrin !

Source : Jusqu’à aujourd’hui !
Dévotion quotidiennes pour la croissance spirituelle et la paix de l’esprit
Auteure : Iyanla Vanzant
 



 


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