J’AIDE VÉRITABLEMENT

"C’est dans le choix que nous faisons de nos pensées que réside notre liberté" (Emmet Fox)

Il peut arriver que nos bonnes intentions soient mal perçues par notre entourage.

Telle personne que nous voulions aider se rebiffe, telle autre se détourne et refuse notre aide.
Telle autre encore désapprouve nos décisions et nous remet en question par ses remarques et ses commentaires.

Retenons quelques règles de base : on ne peut aider les gens malgré eux, tout comme on ne peut changer personne d’autre que soi-même.

Parfois, ne pas aider quelqu’un représente la plus grande forme d’aide que nous puissions lui apporter.
Demandons-nous toujours si ce que nous faisons pour l’autre ne lui cause pas du tort en bout de ligne.

Soyons attentif à travailler à l’autonomie des gens et non à leur créer des dépendances.

Autre règle : nous pouvons faire ce qui nous plaît en autant que nous ne causons pas de tort à qui que ce soit. Par exemple, nous pouvons décider d’adhérer à un mouvement bénévole si ça nous tente, en dépit des sarcasmes ou de l’opposition de notre entourage.

Quand nous décidons de changer notre pensée et nos actions, cela peut déplaire à notre entourage, qui se sent déstabilisé par notre nouvelle orientation.

Soyons patients et aimants envers eux.

Que la vie leur vienne en aide pendant que nous nous occupons de ceux qui acceptent d’être aidés.

" Je m’intéresse aux autres en les respectant. J’offre mon aide sans condition. Je pense aussi à m’aider moi-même je serai plus ouvert aux autres. Je me rappelle que la vraie liberté est celle qui vient de l’intérieur. "

" Quoi qu’il arrive, quoi que l’on fasse, je suis toujours maître de mes pensées. Je suis le capitaine de mon navire. "