J'APPELLE LA PAIX

"Il n’y a que deux émotions : l’amour et la peur" (Dr Gérald Jampolsky)



Pensez-vois à la place des autres ? Il nous arrive trop souvent de prêter aux autres des intentions qu’ils n’ont-peut-être pas. Si nous avons développé une attitude de souffrance et de méfiance, nous sommes portés à soupçonner nos proches de motivations et de préjugés qui, souvent, ne les effleurent même pas.

Ainsi, nous pouvons nous persuader qu’ils ne nous aiment pas, qu’ils nous jugent, qu’ils nous méprisent, et ainsi de suite.

Il se peut que nos goûts et nos choix de vie diffèrent, mais cela ne veut pas dire pour autant que les autres ne nous acceptent pas comme nous sommes.

Mêlons-nous donc de nos affaires !

Soyons bienveillants dans nos pensées; voilà une occupation assez accaparante qui nous empêchera de nous préoccuper de ce qui se passe dans la tête des autres.

Nous pouvons aussi communiquer à la personne concernée les pensées que nous lui prêtons, en précisant que nous reconnaissons avoir un problème et que nous cherchons à le transformer en outil de communication.

Cela peut aider l’autre à comprendre les jeux de notre mental et aussi nous aider à opter pour la simplicité.

" J’évite de penser à la place des autres. Je cultive plutôt le calme et la sérénité de mon esprit que je partage ensuite avec les autres. Je m’occupe de l’important, je laisse l’inutile "