JE FAIS LE BON CHOIX

"Au milieu de l'hiver, j'ai découvert en moi un été invincible [Albert Camus]

 

Lorsque nous sommes faibles et malades, il y a toujours une partie de nous qui veut guérir. Par notre pensée, nous pouvons encourager l'une ou l'autre de ces parties :

"Ça y est, j'ai attrapé un virus, je suis malade, j'ai mal à la tête, j'ai mal au ventre, je me sens faible et fatiguée !"

ou

"Je n'ai aucun intérêt à être malade, dès à présent je me sens mieux, je me dirige vers la guérison."

Si, inconsciemment, nous voulons être malades parce que ça nous permet d'éviter de faire quelque chose ou parce que nous avons peur d'une situation, le corps obéit à notre commandement inavoué.

C'est pourquoi il est important de vérifier les motivations cachées de nos malaises et de nos maladies. Quel renseignements nous apportent-ils à notre sujet ? Que veulent-ils nous dire que nous n'osons pas nous avouer ?

En tout temps, nous pouvons choisir de rejoindre le courant de vie qui guérit. Simplement, laissons-nous caresser intérieurement par la vie, sentons-nous caresser intérieurement par la vie, sentons son courant bénéfique se frayer un chemin dans nos membres raidis et dans nos organes tordus par la douleur. Faisons place à la douceur de vivre.

" Je choisis la santé et le chant d'amour de la vie pour mon corps. Je reçois le courage d'examiner ce que cachent mes malaises. La vie m'apporte des changements que j'accepte avec grâce. Le meilleur m'attend."