JE SUIS PATIENT(E)

Pour parvenir à modifier nos pensées et y maintenir des idées d’abondance, nous devons faire preuve d’une vigilance constante.

Examinons attentivement nos désirs les plus chers et vérifions si une croyance opposée à leur manifestation nous effleure l’esprit, venant annuler nos efforts.

Cette croyance n’est pas toujours formulée; si elle l’était, elle manifesterait une limitation quelconque, par exemple :
« Je ne peux pas refaire ma vie. Je suis trop vieux. — Je n’aurai jamais les moyens d’acheter cette maison. —
Il n’y a pas d’avenir pour les jeunes… »

Quelle que soit la raison que nous invoquions, nous supposons que la vie, notre passé, notre famille, nous imposent des limites.

Sachons que nous sommes seul responsables de ces limites. Continuons d’affirmer notre droit à la richesse, au succès et au bonheur.

En imprégnant notre esprit de ces vérités, nous faisons fi de la voix négative qui nous fait croire à nos limitations.

Pour établir les nouvelles conditions de notre existence, il est d’importance primordiale de taire cette voix.

Rappelons-nous sans cesse, avec une patience infinie, que notre vraie nature ne connaît pas la limitation.

" L’abondance et l’amour se manifestent dans ma vie. Je répète cette vérité et j’arrache ainsi les racines de la pénurie et de la souffrance."